> mercredi 25 janvier 2006

Rectification

Je reviens sur ce que j'ai dis sur le nouvel album de placebo, pas qu'il ne sorte pas, au contraire, on commence à entendre le nouveau titre à la radio, mais c'est juste que j'ai été justement très déçue par cette nouvelle chanson, d'autant plus qu'on m'avait dit que l'album serait plus rock qu'électro, et finalement, on a une chanson qui rapellerait limite du dépêche mode avec son fond électro. Dommage... J'espère que le reste de l'album est d'un niveau supérieur.

> jeudi 19 janvier 2006

bienvenue à Paris

J'adore ce mode de vie que nous inflige Paris. Vous qui venez de la province et qui avez la malchance de vous retrouver à vivre à Paris, n'avez-vous pas remarqué la menace constante que l'on ressent dans cette ville? Je ne suis pas ici en train d'encourager cette attitude paranoïaque que je hais tant. Non, je parle d'une autre peur: pas une peur d'une bombe, d'un viol ou d'un attentat, mais plutôt, de cette vigilence que nous adoptons inconsciemment lorsque qu'on est dans les rues de la capitale. Je parle de cette sorte de non tranquilité que l'on recent à force de se faire demander de l'argent dans la rue, de voir des malades à chaque coin de rue, ou de se ballader dans des quartiers si délabrés qu'on se croirait plus à calcutta qu'en France, à Paris, city of love; laissez-moi rire!

Certains me répondraient que c'est la même galère dans toutes les villes. Moi qui ai vécu à Lyon l'année précédant mon arrivée à Paris, je peux vous assurer que ce sentiment ne me hantais pas du tout là bas. Au contraire, je m'y sentais très bien, très en sécurité (sauf bien sûr dans les quartiers les plus défavorisés et les cités, toutes les villes en ont, mais pas forcement au coeur même de la ville comme dans la capitale). Bien entendu, il y avait des mandiants, et bien entendu certaines personnes étranges arpentaient les rues, mais c'était à la mesure de chaque ville en France, une minorité. Même dans la petite ville de Guingamp, en Bretagne, où j'ai vécu beaucoup d'années, il y en avait. Mais à Paris, ils sont tellement nombreux qu'ils se permettent beaucoup plus qu'ailleurs, et que leurs discours (d'ailleurs tous similaires) nous trotte toujours quelque part dans la tête.

Quelques cas concrets pour illustrer:

On marchait de chez moi au métro avec mon copain, "tranquiles", quand une femme s'approche de nous. La première pensée qui nous est venue à l'esprit, c'est qu'il s'agissait d'une femme qui allait nous demander de l'argent, d'autant plus que de plus en plus de personnes qui mandient ne sont pas loqueteuses et sales comme nous avons l'habitude de nous le figurer. Au contraire, certaines sont même très propres sur elles. Bref, cette femme qui nous accostât ne voulais qu'un simple renseigement! C'est pour dire comment l'approche que nous avons par rapport aux gens ici diffère de la province, où, d'après moi, les gens qui vous abordent ne vous inspirent pas immédiatement de la méfiance, sauf si, bien entendu ils ont vraiment l'air bizarre.

autre cas: en allant faire mes courses, je marchais pas loin de chez moi, quand je vis un homme au loin qui ne cessait de se retourner vers mon côté, mais vu la distance et le contexte, il pouvait très bien regarder quelqu'un d'autre, ou tout simplement quelque chose au loin. Mais malgré ce doute, je me suis tout de suite méfiée, l'observant discrètement, et me rapprochant, puisqu'il était là où je me dirigeait, tentant de voir si c'était moi qu'il regardait ou pas. Eh bien, ça n'a pas loupé, c'était bien moi qu'il dévisageait sans pudeur, et pour couronner le tout, je me suis rendue compte qu'il s'agissait d'un handicapé mental. J'ai passé mon chemin, tout en gardant mes distances, et je me suis rendue compte qu'il entreprenait de me suivre, et, vu le rythme auquel j'ai l'habitude de marcher, je peux vous affirmer qu'il me suivait. Bref, j'ai mis les bouchées doubles et j'ai réussi au bout d'une certaines distance à le semer.

C'est donc de ça que je parlais au début; d'un incessant sentiment d'oppression qui est très usant.

> mardi 17 janvier 2006

le jeune homme au diamant

Avez- vous remarqué cette tendance qu'ont les jeunes hommes à se farder d'un diamant à l'oreille ces jours-ci? Et plus ça va, plus il y en a. Au départ, ça concernait plus les racailles, ce qui était bien marrant d'ailleurs, puisque leur style pseudo viril était ainsi complètement ironisé par ce petit bijoux, qui de plus n'est pas du tout discret (vu sa taille).

Mais ces dernier temps on dirait que ça se popularise; on trouve toutes sortes d'hommes portant toutes sortes de diamants. Qui l'eût cru? Ceci dit, je dois avouer que bien que ça m'amuse quelque peu, je trouve que c'est quelque part un grand progrès; ça montre qu'enfin on peu dépasser les grands codes sexuels liés à l'apparence. Entre le rose qui se diffuse dans la mode masculine et ces bijoux...

Bref, tout ça pour dire qu'on mettra du temps à s'y faire mais qu'il semble que ce n'est que le début d'une tendance au partage des modes vestimentaires entre les sexes, pour en arriver à un tout unisexe. Finalement, c'est marrant, mais n'est pas mieux ainsi? N'est ce pas plus logique par rapport à l'évolution actuelle vers l'égalité? On ne dit rien d'une femme au style très masculin, mais un homme au style "féminisé" serait plus choquant? A méditer....

> dimanche 15 janvier 2006

la pelleteuse

ça y est, ya les képis qui se pointent...

une racaille

Yo Yo, mattes le parapluie! ha ha ha

moa

eh, les petits trous dans cet emballage de camenbert, ça ressemble aux poinçons de la course d'orientation :D

la pelleteuse

y'avais pas un tsar qui s'apellait le tsar rabine?

la pelleteuse

Robbé Pierre, tu sais, le gars de la révolution, le traitre

moa

eh, t'as pris mon tordu!

la pelleteuse

Descartes + Kant + Platon = DKP

sproma

j'en ai ras la patate!

les bougnolasses

yahvé caesar!

les bougnolasses

qu'est ce qu'on se coyotte!

les bougnolasses

viens jouer au bilboquet

les bougnolasses

lechouille dans la gazouille

les bougnolasses

croûte que croûte

les bougnolasses

Rogé Cavaillès; mets du Rogé dans ton barbu :)

la pelleteuse

relax max, be carefull raoul

la pelleteuse

j'aime bien la texture du sein!

Orangina Rouge

Parce queeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!

Mr Vergès

des roseaux faisandés

Mr Vergès

le fusil hypodermique

Mr Vergès

j'ai pas un bras télescopique!

Mr Vergès

la vermine est le produit spontané de l'ordure

Mr Vergès

"Pas besoins de devenir timbré pour les timbres"

Mr Vergès

"c'est du vomi vocabulérique"

Mr Vergès

"Aristotélicien et non aristochiens"

Mr Vergès

"Vas te faire foutre, crayon!"

Mr Vergès

"épars, et non Hépart, ce n'est pas du Rousseau en bouteille."

Deuxième édition

Comme la bien commenté "l'oublié" dans son commentaire, j'ai ommis pas mal de surnoms. Je rempli donc ce vide.

Jokyste, les bougnolasses, email diamond - la magie du blanc, scotchi-scotcha, sylverstre, scoobidoo, bonz bonz, big lebowsky, flavius flament, mamouthmouth, elmumuth kahl, arafatmah, le tzar rabine, zeusufer, lucizeus, foofoot moumoute, startshi bozom, readouille, le galiwock, moogloo, le vorace, bitnique - spootnick, duchapeau.

> jeudi 12 janvier 2006

des examens ahurissants

Qui a dit que les examens se déroulent dans le silence total, sous peine d'interdiction d'accès à tout examen pendant cinq ans? Qui a dit qu'ils étaient surveillés d'un bout à l'autre, et que l'identité de l'étudiant devait être vérifiée à l'aide d'une pièce d'identité? Venez donc dans le monde merveilleux de la fac de Villetaneuse, en première année de licence info-com, et vous verrez que tout ça n'est qu'un vieux mythe oublié, ou presque, puisque seule une de mes six épreuves passées cette semaine se sont déroulées dans les règles. Dans cette nouvelles cour des miracles, tout est permis, tout est remanié, et tout perd son sens.

Si ce n'est pas un sujet constitué d'une question déjà vue dans l'exercice de préparation aux examens d'il y a un mois, c'est les surveillants (qui sont aussi nos profs, accessoirement, donc, pas des jeunes blasés par leur métier précaire de surveillant) qui vont faire un tour (peut être avaient-ils mieux à faire, je ne sais pas après tout...) ou une prof qui n'utilise pas les copies officielles et nous donne un plan avant que nous ne commencions, et des clés pour ne pas passer à côté de ce qui est demandé. C'est certes aimable à lui, mais n'est ce pas un peu contre le principe même des examens? Déjà qu'on a droit à nos cours pendant cette épreuve, mais en plus on a des conseils directs sur le sujet. Bonjour la difficulté de l'épreuve! Voilà pour ce qui est de la part institutionnelle des examens. Hors du commun, vous avouerez.

Mais il y a aussi la part informelle, à savoir les élèves, qui eux n'éteignent pas leur portable, alors qu'on le leur avait clairement demandé en début d'épreuve (d'une, je considère que l'on devrait y penser de nous même, et de deux, malgré la requête, certains sont encore assez demeurés pour ne pas le faire, ou encore assez irrespectueux pour ignorer cette directive), qui ne se gênent pas pour parler carrement à voix haute, pour ricaner comme les poulets qu'ils sont et ainsi nous faire un gros doigt. N'est-ce pas envoyer les gens se faire foutre que de totalement se laisser aller à des comportements inciviles dans une situations où les enjeux personnels sont tout de même assez forts? Pour ma part il s'agit là d'un manque total de respect, si ce n'est pour eux-même, des autres; seuls au monde, les éberlués imposent leur mépris à une masse qui ne réagit pas, pas même les surveillant qui souvent haussent les épaules et sourient jaune, desespérés face à de tels entraves au habitudes sociales. Moi je me dis, quitte à se la jouer relax et hors sujet, pourquoi ne pas apporter des tables basses, du cafés et des biscuits et mettre une petite ambiance musicale? Quitte à être dans l'extravagance, autant y aller à fond, au moins ça aura l'attribut d'être amusant!

Je dois malheureusement avouer que tout celà ne m'étonne que peu: étant donné que nos cours se déroulent de la même façon, je ne vois pas pourquoi des gens irrespectueux des règles de cours le seraient plus de celles des examens. Les règles sont pour eux une immense farce qu'ils savent parfaitement fouler au pied. Aparremment, ça ne choc que peu de monde; et quand bien même ça dérange, c'est toléré sans problème. Personnellement je ne peux pas le tolérer. Et quand pandant l'épreuve j'exprime ce desaccord avec une exclamation appellant à la raison, donc au silence, on m'envoit chier et me calomnie. Après l'épreuve, je me lamente sur ces misérables conditions,et fait preuve de méchanceté (comme j'aime tellement le faire envers les gens que je ne supporte pas et qui n'ont de respect pour personne, même pas pour eux même) et leur souhaite à tous d'échouer à la mesure du dérangement qu'ils ont causé, les gens qui sont d'accord avec moi quant au manque de respect qui fut affiché ici, m'accusent d'être "mauvaise langue" et puérile!

Je me demande vraiment où est la logique dans tout celà. J'ai vraiment l'impression que tout ce qui constitut les bases de ce que nous appelons le savoir vivre et le civisme sont contraire au fonctionnement de cette fac. Je n'arrive pas à croire que de telles situations puissent avoir lui au sein même d'une institution nationale considérée comme sérieuse; ça me dépasse.

Cas plus précis: l'épreuve d'anglais qui a limite viré à la "foire à la saucisse": les gens parlent, s'échangent des réponses, rient, et même applaudissent les plus grandes débilités énoncées, et ce pendant la quasi totalité des deux heures d'épreuve. Cerise sur le gateau, le prof annonce que PAR RESPECT pour ceux qui n'ont pas fini, pendant les cinq dernières minutes de l'épreuve, les personnes ayant fini ne peuvent quitter la salle. Inutile de vous dire que ce fut mon cas, et qu'on me demanda de ne pas sortir. Malgré le ridicule de la situation, étant donné le vacarme constant tout au long de l'épreuve, je me contraint à jouer la carte de la civilité que je reproche de tant faire défaut aux autres, et à rester assise. Une pauvre conne que je soupçonne de faire parti des poulets piailleurs se lève tout de même, pose sa copie et sort, sans qu'aucune remarque ne lui soit faite. Ma consternation est ainsi de plus en plus grande, et mon énervement aussi par la même occasion. Bref, l'épreuve se termina ainsi par une demande de respect des cinq dernières minutes de travail de personnes qui n'en ont pas eu pour nous pendant l'heure et les 55 minutes qui ont précédé. Quelle comédie burlesque!

Vraiment il y a parfois de quoi se demander où on est, ou si "surprise sur prise" n'a pas posé des caméras cachés quelque part dans les salle. Tout ça tend à se poser des questions sur l'évolution des jeunes générations qui seront un jour les actifs de notre société. ça promet! Déjà que je ne faisais pas grand cas du baccalauréat, mais là, je me dis que cette première année n'est vraiment bonne qu'à se torcher avec, vu les conditions dans lesquelles elle est évaluée et attribuée. Au moins le bac a-t-il le chic de respecter un minimum de sollenité. Pas étonnant à ce rythme que les jeunes diplomés à bac +2 voire même à Bac +3 ne sont pas embauchés directement; il n'y a qu'à regarder la valeur et le déroulement de leurs examens.

> lundi 9 janvier 2006

Exclusivité Placebo

vous vous souvenez que je vous avais parlé d'une possiblité d'une parution anticipé du nouveau Placebo? Eh bien, je le confirme, car on diffuse ce soir même vers 22h30 sur Radio 1 la première chanson de leur nouvel album. La chanson s'intitule "Song to say goodbye". Si vous ne captez pas les radios britanniques, vous pouvez toujours les capter sur

http://www.bbc.co.uk/radio1

ou encore avoir des infos plus précises à ce sujet sur leur site:

http://www.placeboworld.co.uk/

A vos potes!

> jeudi 5 janvier 2006

La foire aux surnoms ( Pour Emilie :) )

Je vous préviens tout de suite, la plupart de ces surnoms qualifiaient des élèves ou profs du lycée (mais surtout les élèves, les profs on les aimait bien); vous n'allez sans doute pas comprendre, voire me prendre pour une folle, mais c'est pas grave, certains pourront reconnaitre de vieux délires, et moi je pourrais lire ce billet quand je me sentirais mal...Bref, bon courage :)

cochon mécanique; dark angel, mata hareng, le légume, jeff, tif touffe, payou, l'oxymore vivant, diamond, la cow how, spoma, l'érudit, la quille, le radar, russian puppet, l'homme mystère, le bonhomme de mousse, jumpy boy, ben laden, lyle, blue shoes man, ou blue shoesy shoes, le tractopelle, la versatile, papy rando, coach guillomin, le claxon oui-oui, big sleepy porky, cerbère cochon, le nain jaune, et bien d'autres dont je ne me souviens plus là.

> mercredi 4 janvier 2006

qu'en pensez-vous?

Il m'arrive souvent de laisser mon esprit vagabonder au bon gré de mon imagination. Vu l'esprit tordu que je me paie, il est fréquent que mes scénarios imaginaires partent en vrille.

J'ai pensé dernièrement à des situations paradoxales, par rapport aux "normes sociales", ou tout simplement, aux habitudes sociales, et à l'effet que ces dernières auraient par rapport à l'opinion, ou plus simplement aux spectateurs de scènes hors du commun.

La première situation fut la suivante: j'étais dans le métro avec mon copain, quand on entend brailler un de ces paumés, qui passent leur journée dans le métro soit dans les bras de Morphée, soit quelques mètres au dessus du sol, dans une sorte de délire abrutissant. Ses cris sont forts, incohérents, et injustifiés (si ce n'est qu'il est sans doute dégoûté de la situation miserable où il se trouve), et surtout, casse bonbons. C'est là que je me suis demandé ce qui se passerait si je gueulais un gros "la ferme!!"; lui se permet de gueuler ses conneries à longueur de journée et donc, de ne pas respecter les règles du savoir vivre en société, et nous, nous restons tous gentiment muet, les yeux ahuris, mais tolérant son incivilité et gueulantes. Alors, finalement, si lui s'en fout de ce qu'on peut penser, pourquoi n'en faisons nous pas de même? Finalement, serait-ce si déplacé d'exprimer ce que la plupart des gens se disent à répétition dans leur tête? Il est vrai que ça ne serait pas correct, mais ça serait en réponse à quelque chose de pas correct non plus. Bref, pensez-vous que les gens seraient plutôt outrés, amusés, reconnaissants? Je me pose vraiment la question, sachant que sans doute la plupart rêverait comme moi de lui dire la même chose, si ils seraient hypocrite au point de me calomnier et de me jetter des regards noirs, ou s'ils me soutiendraient...

Deuxième cas: L'autre jour, un ami a volé un cendrier dans un bar, comme le font pas mal de gens. Moi qui suis serveuse, et qui n'ai jamais volé dans les bars (si ce n'est les sous bocks), je ne comprends pas vraiment ce qui pousse autant de gens honnêtes à voler des cendars, des cuillères ou encore des verres dans les bars, si ce n'est la collection, ou la cleptomanie. Enfin, là n'est pas la question. Alors que je discutais de ça avec quelqu'un d'autre, j'ai pris comme argument:

Dans ce cas là, pourquoi les gens ne se lèvent pas, et ne prennent pas la table sous le bras avant de partir nonchalamment, comme si de rien n'était?

Et c'est là que je me suis demandé ce qui se passerait si cette situation arrivait réellement. Un ami me dit qu'ils chercheraient tout de suite une caméra cachée, ce qui est possible mais peu probable à mon avis. Une chose est sûre, tout le monde serait éffaré, limite mort de rire de voir un tel hurluberlu sortir ainsi, une table sous le bras; pom, podom podom. :) Le même ami me demande ensuite si je pense qu'on l'arrêterait; que quelqu'un (du personnel ou des clients) le stopperait, ou ne lui ferait même qu'une simple remarque. Encore une fois, je me retrouve à méditer la question sans vraiment avoir de réponse (malgré le fait que je sois serveuse) Du fait que je ne me sois jamais retrouvée devant une telle situation, je me suis dit (par facilité peut être) que tout dépendait du gabarit de l'hurluberlu, du personnel, du lieu etc; en somme des circonstances.

Alors, je profite de ce blog pour vous demander à tous ce que vous pensez de ça, de ce qui se passerait dans ces situations inhabituelles et inconvenantes.

Alors, à vos claviers :)

vortex